25 juillet 2014

Maestro

Vrai hommage à Rohmer (le maitre) et à Jocelyn Quivrin (l’élève) mais pas que! 
C'est aussi un très joli récit de rencontres, de cinéma et d'initiation plein de poésie et d'humour... Que demander de plus ? 
 J'ai savouré chaque miette, chaque réplique parfois poétique, barrée ou cocasse lors de l'avant-première mardi dernier, dans une petite salle qui nous donnait (à nous, les 15 spectacteurs) l''impression d'être des privilégiés. 
Avec infiniment d'élegance, Léa Fazer, nous fait virevolter entre le film de potes, le film de genre ou intimiste ou la comédie romantique. Délicieux! Même que je vais m'empresser de le revoir. 

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