Sans savoir vraiment à quoi m'attendre (je sais juste qu'il s'agit de l'adaptation d'un récit d'amour), je pénètre dans la salle de cinéma. Nous somme 4, comme d'habitude. ;-)
Le film démarre sur une chute, celle de Leila Beikty alias Albertine. Et je découvre que L’Astragale est un récit de vie et d'amour, celui d’Albertine Sarrazin, publié en 1965 après sa mort, dans lequel elle raconte sa propre vie, son évasion de prison, la fracture d'un os du pied (l'astragale) et sa rencontre avec l'amour de sa vie, le pas très (du tout) honnête Julien. On est au beau milieu des années 50, c'est en noir et blanc, c'est très élégant, les acteurs (tous) sont irréprochables mais j'ai eu parfois du mal à ressentir toute l'émotion et la passion qui les unit. Il me manquait aussi quelques références historiques, de quoi me rattacher à ce Paris d'après guerre, avec en écho l'Algérie française... Néanmoins, le plaisir des yeux est indéniable.
Bon, j'ai fait l'impasse.... J'ai donc juste raté une jolie chose .... Pas très grave je pense ....
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