14 septembre 2014

Entre mes mains, le bonheur se faufile

J'avais lu, de madame Martin-Lugand "les gens heureux lisent et boivent du café" qui m'avait fait l'effet d'un gâteau un peu bourratif mais réconfortant. 
Pour son 2ème livre: même couverture, même rythme dans le titre, même effet sucrerie (un poil plus indigeste). C'est totalement futile, romantique, ça se lit en une après-midi et c'est de la littérature  de "toile cirée" (un coup d'éponge et c'est oublié!). 
L'histoire d'une provinciale mariée à un homme qui ne la regarde plus, qui plaque son boulot à la banque pour aller faire une formation de couturière dans une école parisienne. Une fois, à la capitale, elle se frotte aux milieux de la couture, se révèle talentueuse et fond pour le voisin de l'atelier. Voilà. Ça c'est le scénario (ni plus ni moins!). L'écriture, elle, est basique, un peu sans relief, faite de dialogues parfois redondants. L'auteur ne nous épargne pas non plus quelques clichés: le mari médecin hyper occupé et parfait goujat, le bellâtre parisien à moto, madame qui sent la passion la gagner...(Ceci dit, niveau tension érotique, c'est plus puissant que le livre de Valérie!!) 
Conclusion: pour un dimanche après-midi à quelques jours de mes grandes vacances, ce n’était pas désagréable mais je crois qu'il est définitivement temps de se remettre à des lectures plus intelligentes!!

2 commentaires:

  1. C'est si bon de mettre ses neurones en jachère!!!
    Que le prochain qui le mise me dise cbien de fois l auteur insiste sur la main du motard sur le bas du dos de l héroïne!!
    Ad

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    Réponses
    1. Parfois la main n'est pas celle du motard!!! ca compte??

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