Je suis embêtée pour commenter cette lecture. C'est tellement léger, plein de bon sentiments dégoulinants et cousu de fil blanc que ça en devient gênant!
D'ordinaire, j'ai une tendresse particulière pour Agnès Ledig, dont j'ai quasiment lu tous les romans (pars avec lui, Marie d'en haut) mais là, on oscille péniblement entre le roman Arlequin et Martine à l'école. Le tout entrecoupé d'une histoire de résistance, de torture de femme enceinte par les méchants allemands, un peu sortie de nulle part.
Eric, est bohème, veuf, papa d'une adorable petite Anna Nina. Il vit dans une roulotte et fait la classe à sa fille. Valentine, elle, est célibataire (endurcie), institutrice en manque de sexe (mais lectrice acharnée ...on compense comme on peut!). Il débarque une nuit d'orage, la gamine fébrile dans les bras, elle l'accueille, les réchauffe, leur fait des tartines de confitures. Et puis, l'institutrice, maman de substitution s'attache...On frôle parfois le ridicule avec des phrases grand-guignolesques, genre "se retourner sur sa vie, c’est prendre le risque de voir les traces du passé dans le sable de nos souvenirs». Non, là, franchement, je renonce!
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