19 mai 2012

De rouille et d'os

Audiard est grand, très grand. Epoustouflée par ce film...J'ai tout aimé. Cette facon de filmer les corps, cette violence, cette solitude. Entre Stéphanie, femme au corps mutilé, qui réapprend le plaisir, la vie, et Ali, jeune père solitaire, peu de mots mais que d'émotions. Les effets spéciaux qui nous montrent ce corps amputé sont a tomber a la renverse, que de beauté dans ces scènes charnelles de corps qui se touchent, se soulèvent, s'aident, s'emboitent...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Ajouter votre avis, vos impressions, votre humeur :)

Où vont les larmes quand elles sèchent ?

Baptiste Beaulieu est un écrivain que j'ai découvert il y a 15 ans, alors que j'étais interne.  J'aimais sa façon de raconter  l...